Le chantier entre de bonnes mains, épisode 16
Un champion du plâtre dans un clair-obscur de cinéma. Niels Ackermann a suivi pendant une matinée Pedro, un pro de «la taloche» Continuer la lecture “Le chantier entre de bonnes mains, épisode 16”
Le Temps de la Comédie
Un champion du plâtre dans un clair-obscur de cinéma. Niels Ackermann a suivi pendant une matinée Pedro, un pro de «la taloche» Continuer la lecture “Le chantier entre de bonnes mains, épisode 16”
Des équipes en effectifs réduits, pour raisons sanitaires. Si le chantier a bien redémarré, ses acteurs s’emploient à respecter les règles de prudence. Cette ambiance inédite n’a pas échappé à Niels Ackermann Continuer la lecture “Le chantier entre de bonnes mains, épisode 15”
Les chantiers sont des théâtres, celui de la Comédie en particulier. Eddy Mottaz met en lumière la beauté des matières. Ces jours pourtant, notre photographe a opté pour une autre perspective Continuer la lecture “Vie secrète du chantier, épisode 13”
En attendant que les théâtres lèvent le rideau, notre critique de cinéma Antoine Duplan invite à (re)voir des films superbement théâtraux. Avec «Marat-Sade», Peter Brook adapte à l’écran le spectacle qu’il avait monté. Une réflexion désillusionnée sur la sauvagerie humaine Continuer la lecture “«Marat-Sade» ou l’enfer selon Peter Brook”
A l’automne 1988, Laurence Calame incarnait une Mademoiselle Julie intrépide comme une chatte sur un toit brûlant, face à un François Chattot roublard tel le braconnier. Matthias Langhoff signait ce spectacle qui a fait date Continuer la lecture “La réponse de notre quiz 8:”Mademoiselle Julie” d’August Strindberg”
Alors que les théâtres entrebâillent leurs portes, nous vous invitons à plonger dans la légende de la Comédie, en écho à l’expo virtuelle «(Re)visiter la Comédie». Sur la photo, cette héroïne jouit de sa liberté. Mais qui est-elle? Et qui l’a rêvée ainsi? Continuer la lecture “(Re)visitez vos souvenirs à la Comédie! (8)”
A l’ombre de Calvin et de son Collège, le metteur en scène genevois Gérard Carrat orchestre en juillet 1974 les brigues, coups de théâtre et traquenards d’une Espagne follement catholique et hugolienne. Un bonheur épique Continuer la lecture “La réponse de notre quiz 7: “Ruy Blas” de Victor Hugo”
Le feu de Victor Hugo, un soir d’automne à la Comédie. Michel Cassagne, en photo, est alors irrésistible. Mais quel est ce drame qui a inspiré à Gérard Oury «La Folie des grandeurs»? L’expo virtuelle «(Re)visiter la Comédie» vous aidera à identifier la pièce et son metteur en scène
Le plaisir d’un grand classique en costumes et sous les étoiles. Le spectacle, dont vous avez une photo sous les yeux, sera d’abord joué en extérieur pendant l’été 1974, avant d’être repris en ouverture de saison, en octobre. Richard Vachoux, qui vient de prendre les rênes de la maison, veut donner le ton: metteur en scène et comédiens constituent une distribution brillante et exclusivement romande. Exit les vedettes parisiennes!
Ce qui frappe dans l’image, c’est l’expressivité de Michel Cassagne, un mélange d’inquiétude et de surprise, peut-être feint. Cet acteur magnifique incarne un grand d’Espagne, dans une des pièces les plus étincelantes de Victor Hugo. Cette histoire de coeur, de cape et d’été inspirera en 1971 à Gérard Oury la célébrissime «Folie des grandeurs», où on voit un Louis de Funès plus énervé que jamais réveillé par Yves Montand au son des louis d’or.
Quel est ce drame alors? Et qui en signe la mise en scène? Vous pouvez poster votre réponse en bas de cet article, dans la partie commentaire, et l’assortir d’un souvenir personnel.
Des indices? Victor Hugo a 38 ans à l’époque et il a déjà fait scandale avec «Hernani». Il est adulé par une jeunesse amoureuse de son panache romantique, honni par les thuriféraires du classicisme. La Comédie-Française se méfie de ce chien fou, le Théâtre de la Porte-Saint-Martin, enseigne phare des boulevards, ne veut pas de ce poète océanique. Peu importe. L’auteur de «Notre-Dame de Paris» aura sa scène à lui, le Théâtre de la Renaissance. C’est pour cette maison qu’il écrit en moins d’un mois le chef-d’oeuvre qu’il vous reste à identifier à présent.
Quant au metteur en scène, il dirige à ce moment-là le Poche où il a succédé à son beau-frère, Richard Vachoux.
Vous trouverez la réponse en déambulant dans l’expo virtuelle (Re)visiter la Comédie et sur notre blog ce week-end, sous la plume de Camille Bozonnet.
Ariane Mnouchkine invoque l’auteur du «Misanthrope» dans un diptyque somptueux, alliant élévation poétique et rigueur historique pour proclamer le lien indéfectible de la vie et du théâtre. Par Antoine Duplan Continuer la lecture “Le théâtre fait son cinéma: «Molière», une célébration solaire”
Fin mars 1968, le Genevois William Jacques monte la nouvelle pièce de l’auteur de «Banquier sans visage», pièce qui avait fait déjà scandale en 1964 au Grand Théâtre à Genève Continuer la lecture “La réponse de notre quiz 6: “Eclatant soleil de l’injustice” de Walter Weideli”