Le théâtre rêvé d’Antoine Duplan

Grande plume du «Temps», après avoir fait le bonheur de «L’Hebdo», notre collègue Antoine Duplan n’est pas seulement un critique de cinéma admiré. Ce cueilleur de champignons dessine merveilleusement bien

Ce jour-là, le ciel était bas et le confinement tapait sur les nerfs. Plus de spectacles, plus de films dans les salles obscures, plus de fondue entre frères et soeurs de caquelons. Pour exorciser les démons de ces journées sans mirages, je demande à Antoine Duplan, grande plume du «Temps», de nous dessiner un théâtre et une gare. Comme la Comédie des Eaux-Vives, tiens!

Drôle d’idée? Notre ami n’est pas seulement un critique de cinéma révéré, un cruciverbiste doué, un amoureux de la bande dessinée qu’il chronique dans nos colonnes, un admirateur éperdu de Frank Zappa, de Bob Dylan, de Victor Hugo et de Charles Dickens. Il a un coup de crayon qui enchante ses collègues.

Antoine  se prend au jeu et nous envoie cette fantaisie: un train nonchalant s’engouffre dans un castelet, sous le regard goguenard d’une petite troupe bestiale. En voiture, les amis!