Le chantier entre de bonnes mains, épisode 3

L’habillage de la Comédie exige un savoir-faire vertigineux. Le photographe Niels Ackermann en témoigne ici, en surplomb d’un ouvrier

Force, sang-froid et précision. Sur son échafaudage, l’ouvrier du chantier de la Comédie n’a pas le droit de rêvasser. Début mars,  Niels Ackermann a immortalisé un de ces héros discrets en train de poser une plaque métallique d’une vingtaine de kilos. Cinq minutes de concentration, avant de passer à la suivante. Ces plaques habilleront tout le bâtiment.